Verstappen dans l’histoire

Il ne faut jamais sous estimer un quadruple champion du monde.
Dans le creux de la vague depuis le début de l’été au volant d’une
monoplace compliquée à piloter, Max Verstappen est revenu, ce
samedi, sur le devant la scène à l’occasion des qualifications du
Grand Prix d’Italie, 16e manche de la saison de Formule 1 dont le
départ sera donné à 15h sur le mythique tracé de Monza.

Auteur de la pole position, le pilote Red-Bull est entré encore
un peu plus dans l’histoire en réalisant le tour le plus rapide de
l’histoire de la Formule 1 avec une moyenne de 264,682 km/h
enregistrée sur son tour chronométré lui permettant de coiffer les
McLaren de Norris et Piastri.

« Un tour assez convenable » pour Verstappen

Un an après avoir été en difficulté durant toute la course à
Monza, Red-Bull et Verstappen s’attendaient à revivre le même
scénario cette année, notamment face à la domination des McLaren,
intouchables et imprenables depuis le début de l’été. Malgré cela,
le Néerlandais a réussi à sortir un tour venu de nulle part, lui
qui considérant avoir rélaisé un « tour assez
convenable » lorsqu’on l’a interrogé à la fin de la séance
qualificative. Devant les McLaren au départ, Max Verstappen va
tenter de contrôler la meute qui sera à ses trousses. S’il n’a plus
rien à perdre vu sa situation comptable au championnat, cela
pourrait lui profiter, notamment si les monoplaces orange venaient
à se battre en piste.

Une chose est sûre, le pilote floqué du numéro 1 sur sa
monoplace est ravi des progrès effectué par son équipes après
plusieurs semaines difficiles : « Je pense qu’on a fait des
progrès avec la voiture et les réglages mais il nous faut mieux
comprendre la course parfois », a affirmé le
Néerlandais à l’issue des qualfications, samedi.