Nice-OL, la grosse polémique

En mal de résultats cette saison, Nice a signé sa troisième victoire en championnat aux dépens de Lyon, ce samedi, dans le cadre du 8e acte de la Ligue 1. Grâce à Bard (5e), Diop (35e) et Boudaoui (55e), les Aiglons se sont imposés 3-2, tout juste contrariés par le doublé de Sulc (29e, 90e+5) alors que Maitland-Niles a loupé un penalty (53e).
Au-delà de ce deuxième revers consécutif pour un OL qui manque là l’occasion de détrôner provisoirement le PSG, un incident a émaillé cette affiche. Une interruption arbitrale pour des chants jugés homophobes en toute fin de rencontre. Sans discernement aucun selon les officiels présents, les commentateurs et les internautes sur la Toile.
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A la 86e minute, l’Allianz Riviera a pris l’habitude de rendre hommage aux victimes de l’attentat du 14 juillet 2016 sur la Promenade des Anglais. Une attaque terroriste islamiste au camion-bélier qui a fait 86 morts et 458 blessés. Au traditionnel hommage se sont mêlés des coutumiers « Daech on t’enc… » lancés par la Populaire Sud et repris dans tout le stade. Ce qui a motivé la suspension du match par M. Brisard.
Très vite néanmoins, les débats ont pu reprendre après une brève consultation des officiels de la Ligue de football professionnel sur le bord du terrain. Et ce alors que le public niçois reprenait de plus belle ses chants. Le speaker de l’enceinte azuréenne, manifestement contrarié par la demande du corps arbitral, a dû tout de même appeler les spectateurs à la retenue.
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