22 December 2025 05:18

Matthieu Lartot, grand changement confirmé !

Alors que Stade 2 fêtait ce
dimanche ses 50 ans, Matthieu Lartot a expliqué les évolutions
indispensables à l’émission emblématique de France
2.

C’était jour de fête de dimanche sur le plateau de Stade 2.
L’émission fêtait en effet son 50e anniversaire et pour
l’occasion plusieurs visaes emblématiques de l’émission avaient
répondu à l’invitation de Matthieu Lartot. Gérard Holtz, Céline
Géraud, Lionel Chamoulaud et Dominique Leglou étaient ainsi
présents aux côtés du présentateur vedette pour ce numéro empreint
de nostalgie.

Après avoir connu une période particulièrement difficile,
l’émission a retrouvé des couleurs depuis quelques années, ce que
Matthieu Lartot explique sans peine. « Stade 2 n’est
plus le magazine de la semaine, mais du dimanche, voire du samedi.
Ensuite, comme notre mission de service public a toujours été de
parler de tous les sports, nous traitons désormais davantage des
sports « aventure », comme l’ultra trail, sports
« nature » ou « loisir », comme le running. Il
y a aussi le sport santé, qui est devenu un vrai
phénomène »
, a-t-il ainsi expliqué à Ouest-France.

« Le rapport au sport des Français, leur engouement, a
évolué. Peut-être depuis la période Covid. Et dernière chose,
l’émission a retrouvé de bonnes audiences avec le changement de
créneau, à 20 h, plus favorable que l’après-midi, avec des
pics à 3 millions de téléspectateurs »
, a-t-il
poursuivi avant de confier être dépendant des trois télés pour le
reste.

« Aller là où on est utile »

« L’accès aux sports majeurs est déterminé par l’achat des
droits. Si l’on n’est pas partenaire  premium, par exemple sur
un match de Ligue 1, on aura seulement un accès à la zone mixte, 30
secondes d’interview d’un joueur et la conférence de presse,

a-t-il ainsi indiqué. Par contre, sur le Tournoi des Six
Nations, on aura plusieurs caméras, accès aux coulisses. »

« On a intérêt à aller là où on est utile, où on fait une
différence,
a-t-il renchéri. Ça ne veut pas dire
qu’on néglige les événements importants. Même si on n’a pas les
droits sur la NBA, on peut consacrer un grand format à Victor
Wembanyama, mais on le fait autrement. Et aujourd’hui, il faut
s’accrocher, être créatif, persuasif, pour toucher un
professionnel. »

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