18 December 2025 10:29

Luis Enrique, le gros coup de gueule contre un journaliste !

Luis Enrique n’a pas apprécié une
question au sujet de la nouvelle hiérarchie chez les gardiens
parisiens après la démonstration de Matvey Safonov lors de la
séance de tirs au but face à Flamengo.

Le PSG a parachevé son année en or. Après avoir remporté le
Trophée des champions, la Coupe de France, la Ligue 1, la Ligue des
champions et la Supercoupe d’Europe, le club de la capitale a en
effet décroché la Coupe Intercontinentale et ainsi réalisé un
incroyable sextuplé, rejoignant ainsi le Barça de Pep Guardiola
(2009) et le Bayern Munich d’Hansi Flick (2020).

Les Parisiens ont néanmoins dû s’employer contre le vainqueur de
la Copa Libertadores. Alors qu’ils pensaient avoir fait le plus dur
en ouvrant le score grâce à Khvicha Kvaratskhelia peu après la
demi-heure de jeu, ils ont en effet vu Flamengo égaliser sur
penalty en seconde période et ont finalement dû attendre la séance
de tirs au but pour venir à bout du club de Rio de Janeiro.

Et le PSG peut bien remercier Matvey Safonov. Le gardien russe,
titularisé dans le but parisien malgré le retour de Lucas
Chevalier, a en effet été le héros de cette séance de tirs au but
avec pas moins de quatre tentatives arrêtées. De quoi rendre
anecdotiques les ratés d’Ousmane Dembélé et Bradley Barcola. De
quoi également conforter Luis Enrique dans son choix de préférer
Matvey Safonov à Lucas Chevalier et interroger pour la suite.

« Tu penses que c’est le moment de parler de ça
? »

Sans surprise, l’entraîneur parisien a d’ailleurs été interrogé
sur la possibilité de voir l’ancien gardien de Krasnodar
s’installer durablement dans le costume de numéro un et donc
repousser Lucas Chevalier sur le banc. Une question que n’a guère
goûtée le technicien espagnol.

« Tu penses que c’est le moment de parler de ça
? »
, a-t-il répondu de manière cinglante au journaliste,
ajoutant : « C’est le moment d’être uni. C’est le moment
de profiter de gagner encore un trophée. C’est le moment de
féliciter tous les joueurs. Ceux qui ont joué et ceux qui n’ont pas
joué. Et le moment de féliciter nos supporters. On veut marquer
l’histoire. On continue à marquer l’histoire. Il faut profiter de
ces moments. »
La question risque néanmoins de rapidement
revenir…

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