L’OM avantagé par les arbitres, c’est confirmé

L’Olympique de Marseille a parfaitement préparé sa réception de
l’Ajax Amsterdam, mardi, en Ligue des champions. Quatre jours après
leur succès minimaliste dans le Classique, les hommes de Roberto de
Zerbi sont en effet allés l’emporter 2-1 à Strasbourg grâce à un
but de Pierre-Emerick Aubameyang dans les dernières minutes de la
rencontre.

Mené jusqu’à l’entame du dernier quart, l’OM s’en est tiré à bon
compte en parvenant à renverser son hôte dans les dernières minutes
de la rencontre. Et ce d’autant plus que certaines décisions
arbitrales leur ont clairement été favorables.

Déjà averti, Nayef Argued a en effet échappé par miracle à un
deuxième avertissement après un accrochage avec Emanuel Emegha,
Jérémie Pignard, l’arbitre de la rencontre sanctionnant à tort
l’attaquant strasbourgeois. « Le Marseillais semble faire
faute en premier. Emegha partait seul au but. Je n’ai pas revu
l’action, mais pour moi cela méritait un second jaune pour Aguerd.
C’est un moment clé », a d’ailleurs pesté Liam Rosenior,
l’entraîneur alsacien, à l’issue de la rencontre.

Deux faits de jeu favorables à l’OM

Et pour le journaliste Nabil Djellit, la colère des
Strasbourgeois est plus que légitime. « Aguerd aurait pu
être expulsé, la main de Pavard aurait dû être checkée par la VAR.
L’OM s’en sort bien au niveau de l’arbitrage… », a-t-il
ainsi écrit sur X en référence à une main du champion du monde
tricolore en pleine surface.

Cette polémique intervient alors que jeudi, Ligue 1+, le
diffuseur du championnat, avait publié une vidéo dans laquelle
Marquinhos et Fabian Ruiz se plaignaient auprès de Jérémie Brisard,
l’arbitre du Classique, de sa trop grande mansuétude à l’égard des
joueurs marseillais, coupables de fautes en série.

« Ca continue, depuis le début c’est comme ça. Ils sont
toujours en retard. Il faut une bonne réponse parce que sinon,
c’est pas possible. C’est tout le temps comme ça, ils ont fait 10
fautes. Tu leur as donné un carton, ils ont fait 10
fautes », avait déploré le capitaine parisien auprès de
l’homme au sifflet.