Loïs Boisson, catastrophe confirmée

Loïs Boisson sur le flanc en
raison de sa blessure à la cuisse, le tennis français féminin peine
à exister.
La tournée asiatique a tourné court pour Loïs Boisson.
Conséquence de la blessure à la cuisse qui l’a contrainte Ã
l’abandon au troisième tour du Tournoi de Pékin. Vainqueur de Dalma
Galfi puis de Liudmila Samsanova, la Française a jeté l’éponge en
début de deuxième manche contre l’Américaine Emma Navarro.
Dans la foulée, la native de Dijon en a été quitte pour quitter
la Chine et rentrer en France se faire soigner. Victime d’une
déchirure au quadriceps gauche, Loïs Boisson a donc dû renoncer au
tournoi de Wuhan qui s’est déroulé la semaine dernière et pourrait
même devoir faire une croix sur la fin de saison. « Je
vais tout faire au mieux pour pouvoir jouer encore des tournois en
2025 », a-t-elle en effet écrit sur Instagram.
En son absence, c’est tout le tennis féminin français qui est
dans le dur. Loïs Boisson absente à Wuhan, une seule Française a
réussi à intégrer le tableau principal: Varvera Gracheva, parvenue
à s’extirper des qualifications avant d’être éliminée d’entrée par
l’Espagnole Jessica Bouzas Maneiro, vainqueur en deux sets (7-6(0),
6-2).
Une seule Française dans le Top 50
Et cette semaine, la Française d’origine russe sera encore la
seule en lice. Alors qu’aucune joueuse tricolore n’est présente au
WTA 500 de Ningbo, elle est de nouveau sortie des qualifications au
Japan Open d’Osaka et affrontera XXXX au premier tour.
Pour le reste, les autres Bleues sont engagées dans des tournois
mineurs, des WTA 125 à l’instar de Tiantsoa Rakotoman et Chloé
Paquet en Chine ou de Tessah Andrianjafitri au Mexique.
Si pas moins de sept Français émargent désormais dans le Top 50
au Classement ATP, Loïs Boisson, 38e, est l’unique
représentante tricolore au sein du Top 50 du classement WTA. Sa
dauphine, Elsa Jacquemot pointe au 61e rang tandis que
Varvera Gracheva occupe la 83e place, Leolia Jeanjean
étant la dernière représentante tricolore au sein du Top 100, au
93e rang.
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