L’Italie déjà fixée sur sa demi-finale de barrage

Dominée par la Norvège dans sa
poule éliminatoire, l’Italie doit en passer par les barrages pour
voir le Mondial 2026. Avec une demie plus ou moins déjÃ
écrite.
Comme en 2018 et en 2022, l’Italie va devoir en passer par les
barrages pour prétendre à disputer la Coupe du
monde 2026. Barrée à l’époque par la Suède puis la
Macédoine du Nord, la Nazionale n’aura pas le droit à l’erreur –
sous peine de vivre un troisième Mondial consécutif à la maison. Un
comble pour une sélection qui jusqu’alors n’avait manqué que deux
Coupes du monde dans son histoire, la première en 1930 (non
inscrite) et celle de 1958 (non qualifiée).
Au vu de son statut de neuvième nation mondiale selon le
classement FIFA, l’Italie sera pour ces barrages relativement
protégée en tant que tête de série. Un rang qui lui réserve pour la
demi-finale de cette échéance capitale jouée le 26 mars prochain un
match à domicile contre une équipe repéchée via la Ligue des
nations. Ce qui aujourd’hui ne concerne plus que cinq adversaires
potentiels.
Vont ainsi être versées dans ces barrages européens par la voie
de la Ligue des nations la Roumanie, la Suède et l’Irlande du Nord.
Mais aussi le troisième de la poule J pour l’heure dominée par la
Belgique devant la Macédoine du Nord et… le pays de Galles. Ces
deux dernières nations ayant rendez-vous à Cardiff mardi pour la
place de premier dauphin derrière des Diables rouges appelés Ã
conclure à domicile devant le Liechtenstein.
Une finale de barrage encore indécise
Autrement dit, les Azzurri ont de grandes chances – ou de grands
risques – de retrouver sur leur chemin les Suédois et les
Macédoniens qui leur ont fait tant de tort par le passé. Et au vu
de l’état d’esprit transalpin autour de cette Nazionale de Gennaro
Gattuso si décriée, une nouvelle (mauvaise) surprise n’est
assurément pas à exclure.
En cas de qualification le 26 mars prochain, une finale
continentale sera encore à gérer pour les Italiens cinq jours plus
tard. Toujours forts de leur statut de tête de série, les Azzurri
devraient alors éviter la Turquie, l’Ukraine et la Pologne, voire
l’Ecosse (ou le Danemark). Gare en revanche à la République
tchèque, à la Slovaquie, à l’Albanie ou à l’Irlande.


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