Les sextoys en WNBA, ça suffit !

Les Françaises Janelle Salaün,
Iliana Rupert et Carla Leite, des Golden State Valkyries, mais
aussi Leila Lacan et Migna Touré du Connecticut Sun, étaient aux
premières loges lorsque c’est arrivé.

Il y a des enfants dans la salle…

Face à cette dérive, la ligue a
annoncé des sanctions immédiates : expulsion des fautifs,
bannissement d’un an minimum et poursuites judiciaires. Le message
est clair : il s’agit de protéger la sécurité des joueuses et le
caractère familial des rencontres. Même Avi Goldstein, patron de Twisted
Fantasies, la marque à l’origine des sextoys utilisés, a tenu à
condamner fermement ces actes.

« Les jouets pour adultes
que nous fabriquons sont faits pour la chambre, pas pour être jetés
à des matches de basketball. Ce qui s’est produit est complètement
inapproprié, fait prendre des risques aux joueuses et aux fans,
tout en étant incroyablement irrespectueux pour ces athlètes
incroyables.

Honnêtement, ce n’est pas
quelque chose que des enfants devraient voir durant un événement
sportif familial. Nous sommes tous des fans de basket passionnés
et des gens qui acceptons notre sexualité de manière saine, mais il
y a des endroits et des moments pour ça. »

Un rappel salutaire à l’ordre,
alors que la WNBA continue de gagner en visibilité et en popularité
— sans avoir à tolérer ce genre de comportement déplacé.