Laurent Luyat, catastrophe en plein direct
Laurent Luyat et le plateau du
Vélo Club ont dû composer avec des conditions météorologiques
apocalyptiques, jeudi, à l’arrivée de la 18e étape.
La 18e étape a été compliquée pour les coureurs du
Tour de France. En plus des 5 500 mètres de dénivelé avec
trois cols hors-catégorie au programme, dont l’interminable montée
du Col de la Loze, le peloton a dû affronter des conditions
compliquées et la plupart des rescapés du Tour ont terminé
frigorifiés.
Pour autant, Laurent Luyat faisait la fine bouche à l’arrivée.
« Franchement, c’était l’étape reine et ça n’a pas été
fantastique, notamment en terme de suspens », a ainsi lancé le
présentateur vedette de France Télévisions pour ouvrir son émission
Vélo Club dans la foulée de la victoire de Ben O’Connor. « On
ne va pas le dire trop fort, car si les coureurs nous entendent,
ils ne vont pas être contents », lui a alors répondu Laurent
Jalabert.
Mais le plateau du Vélo Club a lui aussi rapidement dû composer
avec la météo. Si les manteaux ont permis à Laurent Luyat et ses
acolytes de braver le froid et si les parapluies ont un temps
permis d’éviter d’être trempés, une tempête de grêle s’est en effet
abattue sur eux, semant le chaos en plein direct.
Laurent Luyat à la peine
« J’ai rien entendu à ce qu’il a dit, a tout d’abord
lancé Laurent Luyat après l’interview de Ben O’connor. C’est la
grêle, ici. C’est formidable, ces plateaux. » « C’est
aussi ça le tour de France, c’est le tour de la grêle, de la pluie,
des intempéries », a soufflé Alexandre Pasteur,
imperturbable. « Nous avons voulu cette année être dans
les mêmes conditions que les coureurs, même pour les émissions, on
ne va pas se plaindre », a alors poursuivi le natif de
l’Isère, ajoutant : « Là, c’est compliqué. C’est
quoi ce parapluie. »
Les fous rires se faisaient de plus en plus entendre, rendant la
tâche de Laurent Luyat d’autant plus compliquée. « Ce que
j’adore, c’est qu’en régie, ils sont morts de rire. Surtout,
Fabrice Collin m’avait dit, on est tranquille, il n’y a pas de
pluie », a renchéri l’ancien journaliste de France Bleu.
La situation devenait de plus en plus chaotique et Franck Ferrand,
monsieur histoire, avait notamment de plus en plus de mal à tenir
le cap, incapable d’intervenir. « Je n’avais pas
grand-chose à dire », a-t-il soufflé.


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