Laurent Luyat balance sur Raymond Domenech
Le présentateur vedette de France
Télévisions a évoqué les difficultés à interviewer certains
sportifs.
En attendant Roland-Garros, durant lequel il officiera comme
chaque année sur la terrasse du Court Philippe-Châtrier, Laurent
Luyat ne chôme pas. Après avoir très récemment tourné dans les
Alpes « L’Anneau », le premier jeu d’aventures qui sera
diffusé à l’automne par France 2, France 3 diffusera un
documentaire écrit et réalisé par Laurent Luyat,
intitulé Les années 80, une génération de tubes.
Venu au micro de Sud Radio présenter son film, Laurent Luyat a
également été interrogé sur ses rapports avec les sportifs. Et Ã
l’en croire, il n’est pas toujours aisé de les interroger.
« Les sportifs sont quand même assez susceptibles. Je
pense qu’il faut faire attention quand on les interviewe, parce que
sinon ils ne reviennent plus vous voir, si l’interview ne leur
plaît pas », a-t-il ainsi confié.
« Par rapport aux hommes politiques, par exemple, les
journalistes peuvent leur rentrer dedans sans problème, ils savent
que ça fait partie du jeu, a-t-il renchéri. Après, je pars
du principe qu’on peut poser toutes les questions possibles, tout
dépend du ton que l’on emploie. Mais je n’ai jamais eu de
problème. J’ai eu une fois un problème avec Raymond Domenech :
à l’époque, il n’avait pas apprécié une de mes
interviews. »
Laurent Luyat bluffé par les Jeux de Paris
Le journaliste a également évoqué le doux souvenir des Jeux
Olympiques de Paris, durant lesquels il officiait non seulement en
plateau en soirée, au relais de Matthieu Lartot, Cécile Grès et
consorts, mais également aux côtés de Léa Salamé pour présenter
« Quels Jeux ! », le talk-show qui clôturait chaque
journée des Jeux.
« Je n’aurais jamais imaginé pouvoir vivre ça. J’ai
commencé mes premiers JO en 2000, c’était à Sydney. Et si on
m’avait dit : ’24 ans plus tard, tu présenteras les Jeux olympiques
à Paris, à la maison’… Ça a été une parenthèse enchantée, un moment
magique pour tout le monde, s’est il enthousiasmé. Je
me doutais que ça allait vraiment bien marcher. J’ai eu la chance
de couvrir des Jeux partout dans le monde. Mais je ne pensais pas
que ça se serait passé aussi bien. Parce qu’il n’y avait aucune
faille nulle part : ni dans l’organisation, les sportifs, les
médailles… »
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