Lamine Yamal, le dur constat

La performance globale du FC
Barcelone mercredi soir face au PSG (1-2), et plus spécifiquement
celle de Lamine Yamal, font parler en Espagne.
Les supporters du FC Barcelone étaient confiants et sûrs de leur
équipe mercredi, avant le début du match de la deuxième journée de
Ligue des champions entre le Blaugrana et le Paris Saint-Germain.
Mais au coup de sifflet final, le coup a été dur à encaisser
puisque
le Barça a été retourné comme une crêpe par le tenant du titre
(1-2). En Espagne, les analyses d’après-match ont été tranchées
: l’équipe de Hansi Flick n’a pas été à la hauteur.
Pendant près d’une demi-heure pourtant, les Catalans y ont cru.
Dominateurs, ils ont ouvert la marque par l’intermédiaire de Ferran
Torres (19e). De retour dans un rôle de titulaire après plusieurs
semaines d’absence en raison d’un pépin physique, Lamine Yamal a
mis le feu dans le couloir occupé par Nuno Mendes. Mais à l’image
de son équipe, le prodige espagnol s’est peu à peu éteint.
Le constat a d’ailleurs été très clair pour Marca ce
jeudi. Le média espagnol a estimé que « physiquement, les
Français ont été largement supérieurs ». Il a surtout
noté que le Barça « a montré des signes d’épuisement en
seconde période tandis que son adversaire a lancé des
contre-attaques à toute vitesse ». Et de revenir sur les
cas particuliers de Pedri, remplacé car « incapable de
suivre le rythme » et Lamine Yamal « qui a
finalement montré qu’il n’était pas au meilleur de sa
forme ».
Le Barça de Lamine Yamal face au mur de la réalité
Mais de manière plus globale, Marca s’est étonné de
noter la différence entre les deux formations au niveau de la forme
physique. « Il est curieux que la fatigue ait eu raison de
Barcelone, contrairement à une équipe du PSG qui a participé à la
Coupe du monde des clubs et qui n’a eu que très peu de
repos. »
Le média a enfin insisté sur la communication autour d’un Barça
qui se rêvait premier rival du Paris Saint-Germain et favori pour
la victoire finale en C1 cette année. Au final, Lamine Yamal et les
siens ont buté mercredi soir sur le mur de la réalité. À eux de
réagir et de progresser.
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