« J’ai mal agi, je le regrette »… Poupette Kenza fait son mea culpa

faute avouée – Reconnaissant sa « culpabilité » avant son procès, l’influenceuse critique également, dans « Le Parisien », Snapchat, « réseau social de la surconsommation »
Poupette Kenza a fait dimanche son mea culpa. De son vrai nom Kenza Benchrif, l’influenceuse a reconnu dans une interview au Parisien sa responsabilité dans l’affaire d’extorsion de fonds pour laquelle elle et son conjoint avaient été incarcérés plusieurs mois en attendant leur procès.
« J’ai mal agi, je le regrette » a-t-elle déclaré au quotidien, « j’ai engagé un homme de main et j’ai voulu me faire justice moi-même ». « Mon avocat m’a expliqué qu’en droit, l’extorsion c’est soustraire de l’argent par la menace ou l’intimidation, alors oui, in fine, c’est de l’extorsion » a-t-elle reconnu.
« Au procès, je ne renierai pas ma culpabilité »
L’affaire a été déclenchée par la plainte, le 23 février 2024, d’un couple qui a « fait l’objet de diverses surveillances (physiques, implantation de mini-caméra aux abords de leur domicile et balise GPS placée sur leur véhicule) et a été physiquement menacé sous condition de remise d’une somme de 200.000 euros », avait expliqué en juillet dernier le procureur de la République de Rouen.
« Une personne m’a recommandé cet homme de main (contacté par l’influenceuse pour l’extorsion) en me le présentant comme un agent de sécurité, habitué à officier comme médiateur de confiance pour des personnalités célèbres » a expliqué Kenza Benchrif. « On m’a dit qu’il était costaud, physiquement impressionnant. Je voulais qu’avec sa prestance, il mette un coup de pression » sur la connaissance auprès de qui elle voulait récupérer de l’argent. « En tout c(…)
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