Inquiétude confirmée pour Loïs Boisson

Révélation de l’année 2025, avec
sa demi-finale à Roland-Garros, Loïs Boisson peut-elle encore
franchir un cap l’an prochain ? La tendance est plutôt
négative…
« Est-ce qu’un tournoi du Grand Chelem masculin sera
remporté par quelqu’un d’autre que Jannik Sinner ou Carlos Alcaraz
? », « Aryna Sabalenka ajoutera-t-elle plus d’un Majeur à
sa collection ? » Comme chaque année, L’Equipe y va de
son lot de questions à l’aube de la nouvelle saison de tennis.
Le quotidien prend l’habitude d’interroger ses internautes, et
avant d’attaquer 2026, l’un des sujets concerne évidemment Loïs
Boisson. La Dijonnaise a été l’immense surprise de l’année qui
s’achève, avec sa demi-finale à Roland-Garros, suivie d’un titre à
Hambourg. La question pour elle est de savoir si elle pourra
confirmer et franchir un cap supplémentaire.
« Loïs Boisson va-t-elle intégrer le top 20 mondial
? »,
se demande ainsi L’Equipe. Après avoir gagné 300 places suite à
son parcours fantastique à Roland-Garros, la Française était 66e au
moment d’aborder Wimbledon, son tournoi suivant. Grâce à quelques
bons résultats sur le deuxième semestre, la voilà 36e au moment de
finir l’année, son meilleur classement.
Loïs Boisson toujours blessée
Le Top 20 n’est pas si loin pour elle, à un peu plus de 600
points, concrètement. C’est loin d’être un rêve inaccessible,
d’autant que Loïs Boisson, qui était blessée en début d’année
dernière, n’aura quasiment aucun point à défendre jusqu’à
Roland-Garros, où elle jouera très gros. Pourtant, après plus de 12
000 votes, c’est le « non » qui l’emporte à plus de 60%
pour la question posée par L’Equipe.
Quelle est la raison de ce pessimisme ? Il est peut-être lié aux
incertitudes concernant l’état de santé de la Tricolore. Plusieurs
fois blessée sur la seconde partie de saison (cuisse, genou…), Loïs
Boisson n’est pas à 100% de sa forme pour aborder 2026, puisqu’elle
vient notamment
de déclarer forfait pour la United Cup, où
elle devait représenter la France à Perth. A l’approche de l’Open
d’Australie, ce n’est pas un très bon signal…


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