Hamilton et Ferrari, grand changement confirmé
Arrivé chez Ferrari en 2025,
Lewis Hamilton a bien du mal à s’adapter à sa nouvelle voiture. Le
pilote de Formule 1 l’a encore confirmé ce mercredi.
On a beau avoir été sacré sept fois champion du monde, certains
changements sont parfois très particuliers et pas si simples Ã
gérer. C’est exactement ce qui arrive à Lewis Hamilton depuis qu’il
a quitté Mercedes. Désireux de relever un nouveau challenge, le
Britannique a choisi de s’engager chez Ferrari en 2025. Mais depuis
son arrivée,
le pilote de Formule 1 ne parvient pas à briller. Il est revenu
sur le bouleversement qu’a été ce changement d’écurie.
Dans un entretien accordé à L’Équipe, publié ce
mercredi, Lewis Hamilton a confié qu’il n’avait pas bien jugé ce
que signifiait de signer chez Ferrari. « Je m’y étais
préparé, mais le vivre, c’est différent. » Et de revenir
sur ses débuts avec sa nouvelle voiture. « Dès
le premier jour à Maranello. Je ne l’oublierai jamais. Je suis
même triste de pense que ce jour est passé, mais j’espère le
revivre l’année prochaine. »
Une expérience extrêmement marquante pour l’homme de quarante
ans. « Ce jour était très particulier, d’autant plus que
j’avais attendu si longtemps qu’il arrive. » Face à ce
profond changement et après plusieurs mois compliqués à essayer de
s’adapter à son bolide, Lewis Hamilton n’a pas caché qu’il se
posait toujours des questions. « Je suppose que je finirai
par m’y habituer, mais ce n’est pas certain. »
Hamilton et l’amplification Ferrari
Le monde de la Scuderia est un monde à part, et Lewis Hamilton
en a désormais entièrement conscience. « J’ai connu
beaucoup de succès chez Mercedes, mais tout est amplifié chez
Ferrari… à cause de la marque et tout ce que les gens ressentent
pour elle. » S’il
a semblé baisser les bras à un moment de la saison, le
Britannique reste toujours passionné et désireux de réussir son
mariage.
Sixième du classement des pilotes, à 207 points du leader (Oscar
Piastri), le pilote Ferrari veut croire que la saison prochaine
sera plus souriante. Il n’est en tout cas pas près de s’arrêter de
piloter, chez Ferrari ou ailleurs : « Je ne prévois pas
d’arrêter bientôt. » Voilà qui est dit.
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