Contrainte de mentir, Isabelle Ithurburu préfère arrêter !

Deux ans seulement après son arrivée à TF1, Isabelle Ithurburu
est devenue l’un des visages emblématiques de la chaîne. Recrutée
pour prendre la suite de Nikos Aliagas à la barre de 50’Inside et
incarner le rugby, la Béarnaise officie également en tant que joker
de Marie-Sophie Lacarrau à la présentation du JT de 13 heures et
s’apprête à ressusciter Stars à domicile, jadis présenté par Flavie
Flament.

L’ancienne présentatrice du Canal Rugby Club peut mesurer le
chemin parcouru depuis ses études de commerce international. La
native de Pau a ainsi débuté dans une concession automobile, comme
elle l’a rappelé sur la chaîne YouTube On Time. Un premier travail
qui ne l’a pas transportée… « Je vendais des crédits auto,
je détestais ça car il fallait mentir aux gens. Clairement, ça n’a
pas duré longtemps », a-t-elle expliqué.

Isabelle Ithurburu a un temps songé à se lancer dans la chanson.
Au point de participer à l’émission La Nouvelle Star. Mais de son
propre aveu, si elle adorait chanter, elle n’était pas faite pour
ça et son parcours dans l’émission s’est d’ailleurs arrêté dès le
premier prime après avoir interprété Butterfly de Superbus.

« Je n’étais pas du tout faite pour ça »

« Zéro regret ! J’adore chanter, a-t-elle
assuré. Aujourd’hui, c’est les berceuses et petites chansons à
ma fille, mais j’ai toujours adoré chanter devant ma glace, dans ma
chambre, avec une brosse à cheveux comme beaucoup de jeunes.
Je ne chante pas très bien, mais je change juste. J’ai dépanné
mon frère qui avait des groupes, mais je n’ai jamais voulu le faire
plus sérieusement. »

« Quand je vois aujourd’hui ce que c’est, quand je
rencontre beaucoup d’artistes, je me rends que je n’étais pas du
tout faite pour ça, a-t-elle poursuivi. Je n’ai
jamais composé, je n’ai jamais eu l’idée d’une chanson, ni écrit
quoi que ce soit. Je n’ai pas une grande voix. J’étais juste une
chanteuse dans les bals de village et je m’éclatais comme
ça. »

Isabelle Ithurburu a finalement fait irruption dans le métier de
journaliste à la faveur d’un casting organisé par Infosport, alors
en quête de nouveaux visages. La carrière de celle qui travaillait
alors dans une société d’import-export dans la région parisienne
était lancée.