Caroline Garcia, c’est positif

Victorieuse de Sonay Kartal lors
de son premier match depuis Roland-Garros, Caroline Garcia était
logiquement très heureuse de ce résultat qui lui permet de disputer
au moins un autre match avant l’US Open.
En pleine tournée d’adieux, Caroline Garcia dira d’ici quelques
jours au revoir à Flushing Meadows. En effet, alors qu’elle va
mettre un terme à sa carrière de joueuse de tennis à l’issue de la
saison en cours, la Française disputera une dernière fois l’US Open
vu qu’elle a reçu une wild-card de la part des organisateurs.
Également invitée lors du WTA 1000 de Cincinnati, la Lyonnaise a
renoué avec la victoire vendredi, face à Sonay Kartal (5-7, 6-4,
6-3), lors de son premier match depuis Roland-Garros.
Alors qu’elle n’avait plus gagné depuis Miami, le 19 mars
dernier, la joueuse actuellement 200e mondiale s’est donné le droit
de défier Karolina Muchova au prochain tour. « Le but est d’arriver
avec un maximum de repères et de rythme à l’US Open. J’ai eu la
bonne surprise d’avoir une invitation ici, ce qui n’était pas gagné
d’avance. J’ai pu bien m’entraîner avec de nombreuses joueuses et
retrouver le rythme », a notamment expliqué la Française, dans des
propos recueillis par L’Equipe.
Garcia : « Avec le
travail tout reprend forme »
« J’ai gagné un match, je vais pouvoir en jouer un autre,
ce n’est que du bénéfice. Depuis Miami, je n’ai joué qu’un match Ã
Roland-Garros, mais ça fait du bien de voir qu’avec le travail tout
reprend forme. C’est positif. (…) Mon épaule droite ? La plus
grande satisfaction, c’est que le dos va bien. L’épaule, elle fait
encore un peu des siennes. C’est un problème de joueuse de tennis.
Quand vous avez mal, vous ne pouvez pas vous en servir. »
« Et quand vous ne vous en êtes pas servi depuis longtemps,
elle est rouillée. Mais, globalement, ça va. Je ne sers pas aussi
bien que je voudrais, mais ça va, a par la suite déclaré Garcia, en
conférence de presse, après son succès au 1er tour du WTA 1000 de
Cincinnati. Quand on s’est autant appuyé sur son service durant
toute sa carrière, on en veut toujours plus. »
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