Ballon d’Or, le coup de tonnerre
Dans un mois et demi se tiendra
au théâtre du Châtelet, à Paris, la cérémonie du Ballon d’Or. Avec
de l’inédit en perspective.
Ousmane Dembélé Ballon d’Or
2025 ? La prochaine cérémonie à la sphère dorée,
encore et toujours organisée à Paris mais dès le 22 septembre cette
année, n’aura pas pour seul enjeu ce verdict. D’autres titres de
prestige, comme chaque saison, seront décernés à cette occasion.
Avec en cette édition 2025 de grandes nouveautés cependant.
Parité oblige, l’organisation a décidé en effet d’attribuer
autant de trophées à ces dames qu’à ces messieurs. Une grande
première dans l’histoire. Outre le Ballon d’Or féminin et celui de
la meilleure entraîneure, les trophées Raymond Kopa, Lev Yachine et
Gerd Müller auront ainsi leur déclinaison féminine.
Comme chez les hommes, la distinction liée au nom de l’ancien
meneur français récompensera alors le plus grand espoir de
l’année ; celle portant le nom de la légende russe des
gardiens de but ira à la meilleure gardienne ; enfin le
trophée du nom de l’attaquant allemand saluera la saison de la
meilleure buteuse.
Le trophée Müller a déjà sa promise
Pour ce qui est de ce dernier trophée, la Polonaise du FC
Barcelone Ewa Pajor devrait logiquement rafler la mise avec ses 47
buts marqués et 19 passes décisives délivrées en 61 rencontres
disputées sur l’année écoulée (du 1er août 2024 au 31 juillet 2025,
club et sélection confondus).
Toutes les nommées – et les nommés – seront dévoilés dès jeudi
(le 7 août). Un titre honorifique étant également au menu pour
l’équipe de l’année. Comme l’an passé. Le Barça féminin avait alors
été distingué.
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