Arda Güler envoyé à l’OM

Le chantier estival comme souvent
à l’OM est vaste. Toutes les pistes ainsi sont à exploiter, y
compris celles menant au Real Madrid.
Comme à son habitude sous la présidence de Pablo Longoria, l’OM
prépare un
gros mercato estival. Avec le renfort de Medhi
Benatia, le tandem n’a pas froid aux yeux et a su convaincre l’an
dernier des éléments à forte valeur ajoutée comme Adrien Rabiot,
Pierre-Emile Höjbjerg ou encore Mason Greenwood. Alors pourquoi pas
poursuivre sur cette lancée ?
Les besoins du club sont clairement définis, avec déjà des
cibles bien identifiées sur lesquelles les Marseillais semblent
avancer vite et bien. Le milieu de terrain du Losc Angel Gomes, en
fin de contrat, est ainsi en approche. Comme, potentiellement, des
éléments tels que Facundo Medina (Lens), Nayef Aguerd (West Ham),
Matthis Abline (Nantes) ou Nelson Semedo (Wolverhampton) qui, tous,
donneraient leur priorité à l’OM.
Pour le chroniqueur Walid Acherchour, les Olympiens seraient
bien inspirés d’ouvrir d’autres pistes. Peut-être plus audacieuses.
En allant toquer à la porte de la Maison blanche notamment.
« Si j’étais l’OM, je ferais tout pour prendre un joueur
du Real en prêt d’un an », dixit l’intéressé avec
enthousiasme ce week-end sur le plateau de Winamax FC.
Une perspective alléchante pour l’OM
« Arda Güler par exemple, je lui dirais de venir jouer
la Ligue des champions sous De Zerbi et prendre de
l’expérience », insiste celui qui officie également sur les
ondes de RMC. Une suggestion pas si farfelue quand on sait
l’appétence de l’état-major phocéen pour les prêts de joueurs Ã
fort potentiel. A l’image d’un Ismaël Bennacer arrivé de l’AC Milan
cet hiver.
Agé de 20 ans, le phénomène turc découvert au Fenerbahçe a
disputé cette saison 43 matches toutes compétitions confondues sous
le maillot merengue. Pour 18 titularisations seulement. Son bilan
n’en est pas moins honorable et prometteur: cinq buts et neuf
passes décisives. Avec de surcroit de belles aptitudes affichées
dans le jeu. De celles qui convaincraient certainement un Roberto
De Zerbi soucieux d’apporter une touche technique offensive à son
collectif.
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