Antoine Dupont, très bonne nouvelle confirmée

Auteur d’une belle entrée lors de
la victoire son équipe à Lyon (19-41) samedi soir, Antoine Dupont
n’est pas le seul demi-de-mêlée du Stade Toulousain à avoir
brillé.
Le retour à la compétition se passe bien pour Antoine Dupont.
Après deux entrées en jeu et une titularisation, la semaine
dernière en Champions Cup à Glasgow, le demi-de-mêlée
internationale était de retour sur le banc samedi soir pour le
déplacement du Stade Toulousain à Lyon en Top 14.
Entrée à la 54e minute, alors que son équipe venait de repasse
devant au score, le capitaine du XV de France a permis aux hommes
d’Ugo Mola de finir fort et de prendre le large au score, raflant
même le bonus offensif (19-47). Dupont est notamment au départ de
l’action qui amène l’essai de Paul Costes, avec un long coup de
pied bien senti.
C’est forcément une bonne nouvelle pour le Stade Toulousain de
récupérer son joueur phare. Mais Dupont n’est pas le seul n°9 des
Rouge et Noir à avoir brillé samedi soir. Le titulaire, Paul Graou,
a également rendu une copie très propre.
Paul Graou, doublure solide d’Antoine Dupont
Rugbyrama a ainsi attribué une note de 7/10 à Paul Graou:
« Sur le papier, le synthétique ultra-rapide de Gerland
semblait fait pour lui. Ses partenaires l’ont bien aidé à briller,
en confisquant tous les ballons aux Lyonnais, pour lui permettre
d’animer le jeu à sa guise… Paul Graou s’est ainsi régalé face à un
Baptiste Couilloud réduit à la portion congrue, jusqu’à
pointer en filou un pur essai de 9 avant la pause, en profitant de
la protection du poteau. Un éclair de malice bien mérité pour son
abnégation à sortir rapidement les ballons, et mettre ses
coéquipiers dans de bonnes conditions. À noter par ailleurs que
dans ses sorties de camp, il s’est aussi montré très juste jusqu’à
son remplacement par Antoine Dupont. »
Paul Graou avait assuré un très long intérim avec la grave
blessure de Dupont cette année. Il avait notamment permis à son
équipe de décrocher un nouveau bouclier de Brennus, en juin
dernier. Pouvoir s’appuyer sur ces deux éléments est un luxe pour
le Stade Toulousain.


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