Antoine Dupont, gros problème confirmé !
Succéder à Antoine Dupont au sein
de l’équipe de France de rugby à VII pour les Jeux de Los Angeles
en 2028 ne sera pas chose aisée. Au point d’en écœurer
certains…
Antoine Dupont a mis la barre haute. Débarqué chez les Bleus du
VII en février, le demi de mêlée tricolore a mené l’équipe de
France à la victoire dès sa deuxième étape du Rugby Seven à Los
Angeles puis en enchaînant titre mondial à Madrid et surtout
médaille d’or olympique à Paris. De quoi lui valoir d’être désigné
meilleur joueur de rugby à VII
Mais la réussite d’Antoine Dupont a été telle l’été dernier
qu’elle a visiblement refroidi certains. Et ce malgré la dimension
prise par le sacre olympique des septistes tricolores. En
témoignent les propos tenus par Romain Ntamack à l’évocation d’une
éventuelle participation aux Jeux de Los Angeles en 2028.
« Non, parce qu’il faudra passer après l’équipe qui a
gagné les JO à Paris !  On verra d’ici là , mais non.
On a l’impression que c’est facile parce
qu’Antoine (Dupont) l’a fait, mais je ne suis pas certain
que tout le monde soit capable de faire ça », a ainsi
confié le demi d’ouverture toulousain dans les colonnes de
L’Equipe.
Antoine Dupont inspire Louis Bielle-Biarrey
Interrogé sur le sujet, Louis Bielle-Biarrey a néanmoins tenu un
tout autre discours dans la foulée du sacre des Bleus dans le
Tournoi. « Ce qu’a fait Antoine, c’est inspirant. Après,
Antoine a pu le faire déjà parce qu’il en a les qualités, bien sûr,
mais aussi parce qu’il avait déjà un statut. Évidemment que, si
demain, on me propose de faire les Jeux Olympiques, je les ferai !
Mais ça ne dépend pas que de moi, ça dépend de plein de choses
», a-t-il expliqué.
Le profil de Louis Bielle-Biarrey a d’ailleurs été validé par
Jérôme Daret, l’ancien sélectionneur des Bleus. « C’est un
joueur qu’on regardait beaucoup, qu’on avait envie de faire venir Ã
l’époque. Les contraintes de notre championnat ont fait qu’il n’a
pas pu s’y essayer plus jeune. Mais s’il s’y intéresse, vu les
qualités qu’il a, ça peut être une belle option pour la France en
2028 si le sélectionneur du moment le souhaite », a-t-il ainsi
expliqué dans une interview au Parisien.
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