Antoine Dupont et Iris Mitteanere, le début de la fin ?

Si la saison de Top 14 a repris le week-end dernier, le Stade
Toulousain démarrant pied au plancher en l’emportant 34-24 sur la
pelouse de Clermont, Antoine Dupont continue, lui, de prendre son
mal en patience. Sur le flanc depuis cet hiver en raison de sa
grave blessure au genou, le capitaine du XV tricolore poursuit en
effet sa rééducation.

Son retour sur les terrains a beau ne pas être attendu avant fin
novembre, le n°9 toulousain n’en fait pas moins toujours
l’actualité. Conséquence de son histoire d’amour avec l’ancienne
Miss France, Iris Mittenaere. Car s’ils n’ont pas encore
officialisé leur relation débutée à l’automne dernier, le couple ne
se cache pas et multiplie les apparitions publiques, que ce soit
dans les tribunes de Roland-Garros, au Festival de Cannes ou sur
les rives du lac de Côme.

A cet effet, Antoine Dupont aura enchaîné durant l’été les
séjours dans les palaces, semblant bien loin du quotidien d’un
joueur de rugby. A tel point que l’icône du rugby français s’est
attiré de nombreuses critiques, certains supporters semblant
s’inquiéter pour la suite de sa carrière. Et ses inquiétudes
seraient partagées par certains proches.

Antoine Dupont déconcentré ?

« Son entourage ne voit pas d’un très bon œil cette
relation ultra médiatisée. L’ovalie, ce n’est pas le foot, on n’a
pas l’habitude du bling-bling et du show off », a confié
à Public l’un d’eux. « La dernière chose dont on
a besoin, c’est que le côté privé débarque dans la carrière
d’Antoine et le déconcentre », a soufflé un autre.

Le staff de l’équipe de France s’interrogerait également.
Interrogé sur son capitaine au début de l’été, Fabien Galthié ne se
voulait pas inquiet. « Il est joli, le chemin
d’Antoine. Le mec est libre, quoi… Surtout, il n’a pas fait cet
extraordinaire parcours par hasard. Alors, j’entends ce qu’il se
dit mais je ne vois pas pourquoi le reste de son chemin serait
erratique. J’espère d’ailleurs qu’on accomplira bientôt des choses
grandioses », avait-il confié.