Amelie Mauresmo avec Alexia Dechaume, le coup de foudre !

Restée dans le tennis après
l’arrêt de sa carrière de joueuse, Amélie Mauresmo a également
développé sa passion pour le vin.
Capitaine de l’équipe de France de Fed Cup puis de celle de
Coupe Davis, entraîneuse d’Andy Murray, consultante pour Amazon ou
France Télévisions ou directrice du tournoi de Roland-Garros:
depuis l’arrêt de sa carrière en 2009, Amélie Mauresmo a toujours
gardé un pied dans le monde du tennis. Mais en parallèle, l’ancien
numéro une mondiale a également pu se consacrer à son autre
passion, celle pour le vin.
Car en plus de posséder une cave à se faire pâmer les amateurs
de bons nectars, avec pas moins de 5Â 000 bouteilles dont des
Château d’Yquem, des Romanée-Conti, la Picarde s’est également
lancée dans le commerce de vins en ouvrant à l’hiver 2017, La
Cave de l’insolente. Et Amélie Mauresmo n’a pas attendu la
retraite pour se passionner pour l’œnologie. Et ce malgré un
bizutage en équipe de France de Fed Cup qui l’a marquée au fer
rouge. Ou plutôt blanc…
« Je fêtais ma première sélection en équipe de France
de tennis, pour la Fed Cup, en 1998. J’avais 19 ans, on
était en Suisse et j’ai subi le traditionnel bizutage. On a
beaucoup bu, c’était un fendant, pas terrible, cela s’est mal
passé, et j’en ai gardé très longtemps un souvenir acide. Cela m’a
bien vaccinée », avait-elle raconté dans les colonnes du
Monde pour expliquer sa tardive conversion aux vins blancs.
Mais c’est également grâce au tennis qu’Amélie Mauresmo s’est
mise à adorer le vin. « Alexia Dechaume, une ancienne joueuse qui
m’entraînait, avait ses grands-parents à Nuits-Saint-Georges, en
Côte-d’Or. C’est une belle entrée en matière ! Et puis Alexia m’a
fait goûter l’une de mes premières bouteilles, c’était un
bordelais, un Gruaud-Larose 1985. J’avais 21 ans et cette
bouteille m’a marquée », avait-elle raconté.
Amélie Mauresmo n’est pas un cas isolé
Et sa carrière de sportive de haut-niveau n’était pas pour elle
antinomique avec sa passion pour le vin. « Quand on mène
une carrière professionnelle, on peut déguster, mais cela reste
ponctuel, voire très occasionnel. En revanche, pendant cette
période, je me suis énormément cultivée en lisant beaucoup sur les
vignobles du monde, les pratiques de vinification, les styles des
vins, avait-elle expliqué à La Revue du vin de France. Ce
que je continue d’ailleurs à faire aujourd’hui. J’aime les valeurs
de partage que véhicule le vin, comme dans le
sport. »
A l’en croire, Amélie Mauresmo n’est d’ailleurs pas la seule Ã
aimer le vin dans le tennis français. « Il y a bien sûr
Yannick Noah, avec lequel j’ai bu quelques bonnes bouteilles. Guy
Forget aussi achète pas mal. Michaël Llodra adore les bons vins. Il
y a également Arnaud Clément, Nicolas Mahut, Pauline
Parmentier…», avait-elle assuré.
Comments 0