Affaire des sextoys : les coupables se dénoncent

On sait enfin qui est à l’origine
des lancers de sextoys sur les parquets de WNBA depuis quelques
semaines. A trois reprises, ces jouets de couleur fluo et à la
forme très évocatrice avaient fait leur apparition dans des
rencontres de la meilleure ligue féminine de la planète, manquant
notamment de peu de toucher des joueuses, notamment l’arrière
d’Indiana Sophie Cunningham il y a quelques jours.

Après l’arrestation de deux individus, que les enquêteurs ont
finalement pu relier aux véritables coupables, le mystère s’est
éclairci. L’entreprise de cryptomonnaie Green Dildo Coin a
revendiqué ces attentats au dildo la nuit dernière.

D’autres « plaisanteries » en réserve

De manière anonyme, le groupe a reconnu avoir voulu se faire de
la publicité pour attirer l’attention et mettre leurs produits en
lumière. Leur porte-parole a ainsi expliqué dans un communiqué
:

« Nous savions que pour nous faire entendre nous devions
créer l’événement et faire un buzz viral, afin de ne pas avoir à
payer tous ces influenceurs en sacrifiant notre âme et le sort du
projet. […] A l’avenir, nous avons beaucoup d’autres plaisanteries
en réserve, mais elles seront beaucoup plus légères et de meilleur
goût », peut-on lire dans ledit communiqué.

Ces actions n’avaient pas du tout faire rire la direction de la
WNBA, ni même les joueuses, globalement outrées et agacées par la
répétitions de ces lancers sauvages sur leur lieu de travail.

Aucune source policière n’a pour le moment confirmé la
responsabilité du groupe de cryptomonnaie dans cette affaire.