Martinez, joli programme en vue

Alors qu’il effectuera en 2026 sa
deuxième année au sein de l’équipe Bahrain Victorious, Lenny
Martinez aura un programme quasiment inchangé. Avec le Tour de
France comme « point clé de la saison ».
Auteur d’une première saison plutôt intéressante au sein de
l’équipe Bahrain Victorious cette année, Lenny Martinez a dévoilé
son programme pour l’année 2026. A priori, à une exception près,
l’un des grands espoirs du cyclisme français (22 ans) disputera
plus ou moins les mêmes courses dans les mois à venir. Actuellement
en stage en Espagne avec ses coéquipiers du côté d’Altea, le natif
de Cannes s’est récemment exprimé sur le sujet.
« J’avais bien aimé mon programme. Je vais débuter par la
Classic Var (le 21 février) et le Tour des Alpes Maritimes (le 22
février), Paris-Nice (du 8 au 15 mars), le Tour de Romandie (du 29
avril au 4 mai), la Flèche Wallonne (le 23 avril), le Tour de
France (du 4 au 26 juillet), qui est le point clé de la saison
», a dans un premier temps détaillé Martinez, qui a porté à
plusieurs reprises le maillot à pois de meilleur grimpeur lors de
l’édition 2025 de la « Grande Boucle ».
Martinez se mesurera à
Pogacar lors du Tour de Suisse
« Le seul changement, c’est le Tour de Suisse (du 17 au
21 juin) à la place du Dauphiné (qui portera dès l’an
prochain l’appellation Tour Auvergne-Rhône-Alpes). Le staff me
l’a proposé, il voulait changer et c’est toujours sympa de voir
autre chose », a par la suite expliqué le principal intéressé,
dans des propos recueillis par L’Équipe. Ainsi, avant le
Tour de France, l’ancien coureur de la formation Groupama-FDJ
pourra se frotter à Tadej Pogacar qui a d’ores et déjà annoncé sa
présence sur le Tour de Suisse.
Vainqueur de plusieurs étapes en 2025 (lors de Paris-Nice, du
Tour de Romandie et du Critérium du Dauphiné), Martinez avait
également remporté la Japan Cup, tout en finissant bien placé lors
d’épreuves sur plusieurs jours (5e notamment du Tour de Catalogne).
En 2026, ce dernier tentera de faire aussi bien, de continuer à
progresser et de, pourquoi pas, viser le maillot à pois sur le Tour
de France l’année prochaine.


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