Roberto De Zerbi balance sur Leo Balerdi
Une nouvelle fois sur le banc de
touche, dimanche, face à Monaco, Leo Balerdi semble avoir épuisé
son crédit auprès de son entraîneur, Roberto De
Zerbi.
Cinq jours après son succès capital sur la pelouse de l’Union
Saint-Gilloise en Ligue des champions, l’Olympique de Marseille a
décroché une victoire toute aussi importante, dimanche, en clôture
de la 16e journée de Ligue 1. Opposés à Monaco, les Ciel
et Blanc l’ont emporté 1-0 grâce à une nouvelle inspiration de
Mason Greenwood, auteur de l’unique but du match dans les dernières
minutes de la rencontre.
L’autre grand artisan de la rencontre a été Geronimo Rulli,
auteur de plusieurs arrêts déterminants. La défense olympienne a en
effet été mise à rude épreuve et pour l’occasion, Roberto De Zerbi
avait choisi de revenir à une défense à cinq, Benjamin Pavard
retrouvant une place de titulaire aux côtés de Nayef Aguerd et Amir
Murillo en charnière centrale.
Leonardo Balerdi, lui, a une nouvelle fois débuté sur le banc et
Roberto De Zerbi s’en est expliqué simplement en conférence de
presse. « Leo était bien physiquement, a-t-il confié
pour commencer. Ça me déplait de le laisser sur le banc parce
que je l’aime beaucoup. Ça arrive, il nous a beaucoup donné mais je
suis le coach et je dois décider de la composition. »
Entré en jeu à la 58e minute
« Je prends mes responsabilités. Il sait pourquoi, il
doit passer un pallier, faire un pas en avant encore plus
grand, a-t-il poursuivi. Il doit décider s’il veut être un
très, très grand joueur – et il en est capable avec son potentiel –
ou bien s’il veut rester un grand joueur mais qui, selon moi, a
encore une grande marge de progression avec et sans ballon, et du
point de vue mental. »
Entré en jeu à la pause face à l’Union Saint-Gilloise , Leonardo
Balerdi a cette fois remplacé Igor Paixao peu après le retour des
vestiaires en raison d’un réajustement tactique.
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