Valentin Vacherot, une nouvelle prime XXL en vue !

 
Qualifié pour les quarts de
finale du Rolex Paris Masters, Valentin Vacherot va encore toucher
un très joli chèque.
Avec treize victoires sur ses quatorze derniers matches,
Valentin Vacherot est à la fois la grande révélation et l’immense
sensation de cette fin de saison sur le circuit ATP. Le natif de
Monaco, qui pointe au 40e rang mondial mais était encore
204e avant son épopée historique au Masters 1000 de
Shanghai, 
confirme tout son talent cette semaine au Rolex Paris
Masters.
Battu par Taylor Fritz dès son entrée en lice à Bâle, la semaine
passée, le joueur de 26 ans a très vite relevé la tête à Nanterre.
Il s’est offert successivement Jiri Lehecka (6-1, 6-3), son cousin
Arthur Rinderknech (6-7, 6-3, 6-4) – qu’il avait battu en finale en
Chine – et Cameron Norrie ce jeudi (7-6, 6-4). Un Britannique qui
s’était auparavant payé le scalp de Carlos Alcaraz.
Des résultats qui le propulsent en quarts de finale, où il
croisera vendredi la route de Felix Auger-Aliassime.
« Si ça devient normal ? Je ne sais pas
mais on est sur une belle continuité depuis Shanghai,
s’est-il réjoui au micro de l’ATP. C’est tellement
plus fun que Shanghai ici, de jouer devant un public chaud
bouillant à Paris. Ce sont des super moments, on va
continuer. »
Valentin Vacherot ne s’arrête plus !
Ce nouveau succès fait aussi du bien à son portefeuille. Après
avoir empoché 1,124 million de dollars à Shanghai (environ 969.000
euros), Valentin Vacherot est assuré de toucher un chèque de
154 170 euros grâce à sa qualification pour le Top 8 parisien.
Un montant qui pourrait grimper à 282 650 euros en
demi-finale, 516 925 euros en finale et 946 610 euros en
cas de titre.
Des sommes vertigineuses pour le Monégasque, dont le prize-money
s’élevait à « seulement » 594.077 dollars (soit environ
512.000 euros) chez les professionnels avant son exploit chinois.
« Tout ça est très cool pour moi, parce
que j’ai la chance de côtoyer tous ces joueurs
chaque semaine, que ce soit à Shanghai, à
Bâle la semaine dernière, et ici à
Paris », savoure-t-il.
« Je suis avec les joueurs que j’ai toujours
regardés à la télé. Je suis
maintenant avec eux dans le vestiaire, à l’entraînement et
à l’échauffement. Je prends tout le positif à les
regarder et à apprendre d’eux. J’ai
encore tellement à apprendre », ajoute-t-il.
Depuis quelques semaines, c’est pourtant lui qui attire tous les
regards. Et ce sera sans doute encore le cas vendredi.


 
                                                                                                                                                                                                             
             
             
            
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