L’Equipe du Soir, lourdes accusations contre un consultant
Un joueur de l’équipe de France
est victime d’un “acharnement déplacé” dans l’émission “L’Equipe du
Soir”.
Les deux derniers matches de l’équipe de
France, contre l’Azerbaïdjan (3-0) et l’Islande (2-2), ont
permis de voir les deux visages des Bleus: le premier avec Kylian
Mbappé, le deuxième sans. En raison de sa blessure à la cheville
subie vendredi au Parc des Princes, où il a marqué et délivré une
passe décisive, le capitaine tricolore n’a pas pu effectuer le
déplacement à Reykjavik lundi. Et cela s’est ressenti.
Pas de quoi convaincre Johan Micoud de dire du bien de
l’attaquant du Real Madrid. Tout juste a-t-il reconnu dans
L’Equipe du Soir qu’il était « en
jambes » et proche de redevenir « le joueur
qu’il était ». Des propos qui ont confirmé ses
précédentes sorties au sujet du Merengue, qu’il n’hésite jamais Ã
égratigner malgré son début de saison époustouflant sur le plan
statistique (17 buts et 4 passes décisives).
Ces charges à répétition de l’ex-Bordelais sur
« Kyks » ne passent pas. Sur sa chaine YouTube, Pierre
Ménès recadre ainsi sèchement le consultant de la chaîne L’Equipe.
« J’ai connu Micoud joueur, c’était déjà un mec triste et
plutôt négatif. En devenant un ancien joueur, il faut croire qu’il
est encore plus triste et encore plus négatif », balance
le journaliste, qui dénonce un « acharnement
déplacé ».
« C’est une campagne de dénigrement
perpétuelle »
« Quand on voit le match contre l’Azerbaïdjan, on
dépasse les limites du ridicule. Et encore plus quand voit le match
suivant, sans Mbappé. Vampiriser qui ? Vampiriser quoi ?
Est-ce que c’est de la faute de Mbappé si les autres joueurs
offensifs de l’équipe de France ne sont pas à son
niveau ?, poursuit-il. Mais bon, c’est une campagne
de dénigrement perpétuelle, permanente et extrêmement
usante. »
« Je sais, je suis considéré comme l’avocat numéro un
de Mbappé, mais je ne mettrais pas autant d’énergie à le défendre
s’il n’était pas régulièrement attaqué de façon aussi
lamentable », lâche également l’ancien sniper du
Canal Football Club, qui estime que le numéro 10 des Bleus
a été « bien seul à secouer le cocotier » face
aux Azerbaïdjanais. Et Pierre Ménès de s’en prendre à ceux qui
l’entouraient ce soir-là .
« Entre un Olise inexistant à droite, un Coman empêtré
dans ses dribbles trop lents et un Ekitiké qui a mis une mi-temps Ã
exister… Donc ça fait beaucoup, analyse-t-il. Si on en
arrive à dire que le mec qui fait but et passe décisive, dans un
match où ton équipe met trois buts, vampirise le jeu, eh ben
j’espère qu’il va continuer à le vampiriser comme ça et pour le
Real et pour l’équipe de France. » C’est dit !
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