Pascal Praud et sa femme violemment pris à partie !

L’éphémère passage de Pascal
Praud au FC Nantes n’aura pas été sans conséquence sur la vie
privée de l’ancien présentateur de Téléfoot…
Pascal Praud ne regrette rien. A l’en croire, sa décision de
quitter Téléfoot pour un poste de dirigeant au FC Nantes a été une
bénédiction. Et pas seulement parce qu’à TF1, il était de son
propre aveu « sur une voie de garage » après
l’arrivée de Thierry Gilardi comme il l’a raconté dans un long
sujet que lui a consacré Le magazine L’Equipe. Mais cette
aventure chez les Canaris a également servi de révélateur pour
l’ancien présentateur de Téléfoot.
« Cette expérience est celle qui m’a le plus servi dans ma
vie sur le plan humain. J’ai compris que mon métier, c’était le
journalisme, j’aime appartenir à une rédaction, j’aime parler avec
les journalistes », a-t-il indiqué à ce sujet. Pour
autant, ces deux années au FC Nantes auront été particulièrement
éprouvantes. La faute à la défiance des supporters à son égard.
Et ce désamour des fans nantais ne se limitait pas aux quolibets
dont il était la cible à la Beaujoire ou à l’extérieur. En atteste
l’anecdote livrée par celui qui fait désormais le bonheur de CNews
et de la droite ultra-réactionnaire.  « Quand tu
déjeunes en terrasse avec ta fiancée et que tu vois un gars qui
s’arrête, se met à te regarder fixement, sort son téléphone,
appelle manifestement ses potes, puis qu’un deuxième arrive et que
très vite, ils sont dix à t’insulter alors que tu es à trois
mètres, il y a plus agréable, a-t-il raconté. Mais bon,
tout cela n’est pas très grave, quand même. Ma nature me pousse Ã
prendre les choses avec un peu de légèreté et de
dérision. »
Pascal Praud n’était pas bon
Pascal Praud de livrer une autre illustration de l’intrusion des
supporters nantais dans sa sphère privée. « J’habitais place
Royale, dans un bel immeuble. Un soir, je rentre et je découvre la
cage d’escalier maculée d’autocollants avec l’inscription :
« Praud, tu es une trompette », a-t-il soufflé.
Bon, évidemment, ce n’est pas très glorieux, les voisins me
disaient : « Monsieur Praud, quand même… » C’est
arrivé trois fois en deux ans. »
Mais à l’en croire, les supporters nantais avait quelques
raisons de l’avoir mauvaise. « Je n’avais pas les codes,
je n’avais pas confiance en mon jugement, je n’étais pas bon, je le
savais, et c’était d’ailleurs assez humiliant », a-t-il
expliqué.
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