Bagarre confirmée à L’Equipe du Soir !

Alors que l’émission L’Equipe du
Soir fête sa 4000e émission ce lundi, un chroniquer a confirmé que
les esprits pouvaient s’échauffer hors antenne…
C’est jour de fête pour L’Equipe du soir. Ce lundi marquera en
effet le 4 000e numéro de l’émission emblématique
de la Chaîne L’Equipe. Pour l’occasion, une émission sépciale sera
diffusée en soirée avec la présence d’une trentaine de chroniqueurs
qui se relaieront aux côtés d’Oliver Ménard, l’historique
présentateur du programme.
Auparavant, un documentaire de 55 minutes L’Équipe du Soir,
la formidable épopée reviendra sur la naissance de l’émission
il y a 17 ans et son essor, au point d’être devenu le programme de
référence en matière de sport. L’occasion pour certains
chroniqueurs de livrer quelques confidences sur l’envers du
décor.
Journalistes à L’Equipe, Etienne Moatti et Bernard
Lions ont ainsi expliqué que le ton était parfois tellement monté
entre certains chroniqueurs que certains avaient voulu en venir aux
mains. « J’adore me moquer, être un peu deuxième degré… Se
chambrer, s’allumer un petit peu fait partie de l’émission. Au
cours des 4000, il y en a eu quelques-unes où l’opposition est
allée un peu trop loin et où on avait le sentiment que ça allait
finir en bagarre », a tout d’abord expliqué Étienne
Moatti, qui a souvent eu maille à partir avec Grégory Schneider,
son comparse de Libération.
« Il m’a couru après dans les couloirs pour qu’on se
batte »
« Une fois, je m’étais attrapé. À la fin de l’émission,
ça a continué, a de son côté raconté Bernard Lions. Il m’a
couru après dans les couloirs pour qu’on se batte. Je lui ai
dit :  »tu te rends compte de l’âge qu’on a ? On
fait une émission de télé, je t’ai un peu secoué mais comme
j’aurais pu te plaquer… » Je lui ai dit cela parce qu’il est
du rugby. Dans la nuit, il m’a appelé pour
s’excuser. »
Plus récemment, au cours d’un débat au ssujet de Roberto De
Zerbi, le ton était rapidement monté entre Sébastien Tarrago et
Ludovic Obraniak. L’ancien Bordelais n’avait clairement pas
apprécié les attaques du journaliste de L’Equipe au sujet du
technicien italien et n’avait pas manqué de lui faire savoir. Au
point de le menacer. « Fais attention à ne pas trop me
chercher quand même », avait-on pu ainsi entendre dans la
bouche de Ludovic Obraniak, qui avait renchéri : « Tu
vas prendre une branlée » alors que Sébastien Tarrago lui
répondait « Il va se passer quoi. » « On verra ça
après », avait conclu l’ancien joueur.
Et d’après Mohamed Toubache-Ter, il y a bien eu une explication
entre les deux hommes. « On a beaucoup parlé de ce qui
s’est passé dans le vestiaire de l’Olympique de Marseille… on
pourrait en faire de même pour évoquer ce qui s’est passé sur un
plateau d’une chaîne sportive en pleine publicité », avait-il écrit
sur X.
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