Pauline Ferrand-Prévot en a assez

Opérée et absente des
Championnats d’Europe de cyclisme, Pauline Ferrand-Prévot a hâte de
retrouver la compagnie de Dylan van Baarle.
Après une montée en puissance sur la première moitié de 2025,
Pauline Ferrand-Prévot a fini l’année plus tôt que prévu. Revenue Ã
la route après plusieurs saisons passées à tout gagner en VTT, la
Tricolore s’est imposée sur le Tour de France Femmes. Engagée
quelques mois plus tard sur les Mondiaux, elle n’a pas réussi Ã
briller et elle a même déclaré forfait pour
les Championnats d’Europe cette semaine.
Opérée d’une cheville, elle trouve le temps long.
Revenue malade de Kigali (Rwanda), la Rémoise a décidé de passer
sur le billard pour en finir avec une douleur récurrente au niveau
de la cheville gauche. Elle a annoncé l’opération une fois la chose
faite. Cette décision a signifié la fin prématurée de sa saison.
Habituée à se lever tôt, à beaucoup s’entraîner et à bouger,
Pauline Ferrand-Prévot a du mal à prendre son mal en patience.
Elle l’a d’ailleurs fait savoir dans un message posté ce
dimanche sur ses réseaux sociaux. Et elle n’a pas caché qu’elle
attendait avant toute chose le retour de son chéri,
un certain Dylan van Baarle, coureur de la Visma-Lease a bike,
qui a lui aussi décidé de ne pas prendre le départ de la course en
ligne des Championnats d’Europe qui se déroule ce dimanche en
Ardèche. Le Néerlandais se ressent de sa chute survenue mercredi
lors du contre-la-montre. Du coup, il va rentrer chez lui.
Pauline Ferrand-Prévot attend Dylan van Baarle
« Dylan rentre ce soir », a ainsi écrit
Pauline Ferrand-Prévot en ajoutant une émoticône souriante avec des
petits cœurs autour. « Ça fait une petite semaine que je
suis toute seule, et même si j’aime être seule, ça commence à faire
long car je ne peux pas faire grand chose. » Cette chute
de Dylan van Baarle est un mal pour un bien. En tout cas, la
coureuse de trente-trois ans a décidé de se faire belle et est
passée chez le coiffeur pour l’occasion.

Le résultant semble clairement lui avoir plu, mais elle a
surtout appréciée le fait de pouvoir sortir pour aller chez le
coiffeur. « On dirait que je sors de boîte, mais il était
18h et immortaliser ce moment était important, car trop content de
m’être hisser jusqu’au salon de coiffure. »
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