Frappart lâchée par la direction de l’arbitrage
La direction de l’arbitrage s’est
désolidarisée de l’analyse de Stéphane Frappart, arbitre vidéo du
match entre Rennes et Lyon dimanche soir.
Stéphanie Frappart n’a pas pu compter sur le soutien de sa
corporation. Ce lundi, la direction de l’arbitrage a clairement
souligné
l’erreur d’analyse de celle qui était préposée à la
VAR, dimanche, lors du choc de clôture de la 4e journée
de Ligue 1 entre le Stade Rennais et l’OL.
Dans un match par ailleurs arbitré par Ruddy Buquet et marqué
par de multiples controverses et polémiques, l’instance arbitrale
rattachée à la Fédération française de football n’a guère trouvé
qu’une décision erronée: le choix de ne pas sanctionner un Anthony
Rouault coupable d’une grosse semaine sur le jeune Gone Khalis
Merah.
« Ça glisse… »
La direction de l’arbitrage a ainsi partagé la vidéo mettant en
porte-à -faux l’assistance vidéo, et le jugement ainsi exprimé par
Stéphanie Frappart: « C’est haut mais ça ne reste pas, ça
glisse. » Une interprétation rapide qui a encouragé Ruddy
Buquet à ne pas sévir à l’encontre d’un défenseur rennais
finalement buteur égalisateur dans cette partie remportée 3-1 par
les locaux.
« Le joueur aurait dû être exclu pour s’être rendu coupable
d’une faute grossière et l’intervention de l’assistance vidéo Ã
l’arbitrage était attendue », affirme ce lundi la direction de
l’arbitrage. Un aveu qui ne soulagera pas pour autant des Lyonnais
lésés qui dimanche soir s’interrogeait sur le rôle de la VAR.
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