Loïs Boisson, c’est officiel
Privée de Wimbledon, Loïs Boisson
en sait davantage sur son programme à venir.
Privée de wild-card et trop vite écartée du tableau des
qualifications à Wimbledon,
Loïs Boisson en a déjà fini avec le gazon cette année.
L’époustouflante révélation des Internationaux de France,
demi-finaliste surprise à Roland-Garros il y a trois semaines,
s’apprête à renouer avec la surface qui l’aura révélée aux yeux du
monde entier: la terre battue.
A compter du 13 juillet en effet, c’est à Hambourg, théâtre d’un
tournoi estampillé WTA 250, que l’intéressée est attendue. Cela en
compagnie de sa compatriote Elsa Jacquemot, mais aussi de la locale
de l’étape Tatjana Maria, 45e joueuse mondiale tout
juste consacrée sur le pré du Queen’s.
Aujourd’hui classée 65e dans la hiérarchie
internationale, Loïs Boisson aura toutes ses chances sur l’ocre
hambourgeoise. D’autant que le plateau ne sera pas des plus relevés
outre-Rhin, avec la Chinoise Xinyu Wang, 33e au
classement WTA, pour tête d’affiche.
L’US Open en ligne de mire pour Boisson
Passée cette nouvelle parenthèse terrienne, la jeune femme de 22
ans promet de s’attaquer aux Etats-Unis et à une tournée sur dur
qui la verra assurément s’arrêter à Washington. Pour un WTA 500
programmé du 21 au 27 juillet. Cela avant de s’étalonner sur le WTA
1000 de Montréal, du 27 juillet au 7 août, puis sur le WTA 1000 de
Cincinnati dans la foulée, jusqu’au 18 août.
Un calendrier complet idéal pour préparer son prochain
rendez-vous majeur: l’US Open, du
24 août au 7 septembre. Son premier tournoi du Grand Chelem depuis
son exploit parisien. Une ultime compétition pourrait faire office
alors de tremplin vers Flushing Meadows. Soit à Monterrey pour un
WTA 500), soit à Cleveland pour un WTA 250.
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