Ferrari, Leclerc se lâche sur Hamilton !

Avant le Grand Prix de Monaco,
Charles Leclerc revient sur sa relation avec son nouveau coéquipier
chez Ferrari, Lewis Hamilton.
Le Grand Prix de
Monaco, qu’il a remporté l’an dernier, est un rendez-vous que
Charles Leclerc avait forcément coché dans son calendrier. Mais Ã
l’approche des qualifications, et vu le début d’année compliqué de
la Scuderia, le pilote Ferrari se donne vraiment très, très peu de
chances de briller ce week-end. « Si vous voulez une
réponse honnête, elles sont faibles, confie-t-il Ã
L’Equipe. Notre voiture n’est pas forte dans les virages lents,
et il n’y a que des virages lents à Monaco. Donc ce circuit n’est
pas extraordinaire pour nous. »
Ce qui ne serait pas extraordinaire non plus, selon certaines
rumeurs, c’est sa relation avec son nouveau coéquipier Lewis
Hamilton, arrivé comme la superstar qu’il est. Récemment, la presse
italienne a ainsi révélé que le Monégasque, lassé que les
orientations techniques prises par Ferrarri soient seulement
dictées par le septuple champion du monde, souhaitait faire
cavalier seul. Une version démentie par Charles Leclerc, qui jure
toujours croire au projet et n’avoir « surtout
pas » l’intention de quitter l’écurie transalpine.
Charles Leclerc s’enflamme pour Lewis Hamilton
« Très honnêtement, la lumière chez Ferrari, il y en a
toujours beaucoup eu. En début de saison, c’était assez fou parce
qu’il y en avait vraiment énormément que ce soit sur la Scuderia ou
sur Lewis, ce qui est normal. Maintenant, les choses se sont un
petit peu plus normalisées, calmées », explique-t-il,
trouvant de nombreux points positifs à collaborer avec le
Britannique. « Ça se passe super bien avec Lewis, on
s’entend super bien, on travaille très bien ensemble »,
assure-t-il, avant de s’enflammer pour son aîné.
« C’est un pilote qui est extrêmement talentueux, qui a
réussi le plus dans ce sport, qui a gagné le plus. C’est sûrement
le meilleur pilote que la Formule 1 ait jamais vu, rappelle
Charles Leclerc. Pour moi, c’est une grande motivation de
pouvoir montrer ce que je sais faire dans la même voiture que lui.
(…) La partie organisationnelle de Lewis est exceptionnelle, que ce
soit sur la partie pilote et même celle en dehors de tout ce qui
est Formule 1. » À Monte-Carlo, malgré ses vents
contraires, le duo sera encore attendu au tournant.
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