Kylian Mbappé, le verdict tombe !
Le départ de Kylian Mbappé n’a pas vraiment affecté les performances du Paris Saint-Germain, bien au contraire. Il semble clair que Luis Enrique avait raison sur un certain point.
La petite phrase remonte il y a 13 mois désormais. Alors que le Paris Saint-Germain se préparait à perdre Kylian Mbappé, en fin de contrat, Luis Enrique avait lâché ceci, avant un match contre Monaco. « Mon équipe sera meilleure la saison prochaine », avait clamé le coach espagnol, dans une sortie qui avait de quoi poser question à l’époque.
Avant le quart de finale aller de Ligue des champions contre Aston Villa, AS revient sur cet épisode et dresse un constat sans appel. « Le temps, et les résultats aussi, ont finalement donné raison à l’entraîneur asturien, puisqu’il a remporté ce samedi son cinquième titre de champion de France, son deuxième titre de champion de France, instaurant une tyrannie inaccessible pour le reste des clubs de Ligue 1 », observe le journaliste Andres Onrubia, installé en France depuis plusieurs années.
« Luis Enrique avait raison, embraye l’envoyé spécial du quotidien espagnol, car le PSG est devenu une machine infaillible, avec très peu de défauts, qui est en passe de pulvériser tous les records du football français. » Il est ici fait référence à l’invincibilité des Parisiens en championnat cette saison, et du record du FC Nantes 1994-95 qui pourrait tomber cette saison (1 seule défaite, à la 33e journée).
Le PSG sans Mbappé, ça régale
Le PSG pourrait ainsi s’offrir un deuxième triplé consécutif, s’il remporte la Coupe de France. Et en Ligue des champions, il lui faudra atteindre les demi-finales pour faire aussi bien que la saison. Mais au-delà c’est des résultats, c’est la manière qui impressionne, et notamment le style de jeu prôné par Luis Enrique, qui offre un résultat éclatant depuis plusieurs semaines.
« Une bouffée d’air frais pour le club parisien, écrit AS au sujet du style Luis Enrique, donnant à l’effectif une identité claire, développant un style de jeu ultra-offensif, dominant tous les registres et responsabilisant collectivement tous ses joueurs, autrefois un casse-tête pour ses prédécesseurs car ils n’avaient à leur disposition qu’un recueil d’individus, pas une équipe. »
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